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Xinjiang : la vérité sur les mensonges au sujet de ce territoire autonome du nord-ouest de la Chine

Le Xinjiang (du chinois : 新疆 ; pinyin : Xīnjiāng ; Wade : Hsin-chiang ; EFEO : Hin-kiang ; litt. « nouvelles frontières »), ou Sin-kiang (translittéré en ouïghour en écriture arabe : شىنجاڭ translittération latine, Chinjang), officiellement la Région autonome ouïghoure du Xinjiang, est une des cinq régions autonomes de la République populaire de Chine. (Wikipédia).

Depuis un certain temps, certains politiciens et organisations occidentaux inventent et diffusent toutes sortes de mensonges et de rumeurs au sujet du Xinjiang, jouant des coups bas politiques visant à « contenir la Chine par le Xinjiang ». En réalité, ils ne se soucient ni du développement du Xinjiang ni des droits de l’homme des Ouïghours. Leur réel dessein est de lancer des accusations calomnieuses contre la Chine pour la diaboliser, entraver son développement et détruire la belle vie du peuple multiethnique chinois. Comment ces mensonges sont-ils arrivés ?

Ces dernières années, manipulées et encouragées par les forces anti-chinoises aux États-Unis, certaines « institutions académiques » détournent la vérité ; des «experts et universitaires» propagent des rumeurs et des «activistes amateurs», sans scrupules moraux, ont créé une chaîne de mensonges. Cela, pour diffamer le Xinjiang et déformer le discours public international, souvent par le biais de financements sales, d'histoires déformant les faits et de campagnes massives de dénigrement.

La vérité ne doit pas être entachée, le monde ne doit pas être trompé et le récit sur le Xinjiang ne doit pas être déformé. Les rapports récents du site Internet d'information américain indépendant thegrayzone.com et de la publication australienne Australian Alert Service, ainsi qu'une série de conférences de presse organisées par la région autonome ouïghoure du Xinjiang, ont révélé la vérité sur les « bases de données » frauduleuses liées au Xinjiang ainsi que les soi-disants « témoignages ». Des faits et des chiffres abondants, ont révélé le véritable cerveau derrière eux. Allons au fond de ce qui se passe et révélons les tenants et les aboutissants des mensonges sur le Xinjiang.


Dès le siècle dernier, les États-Unis et d'autres pays occidentaux ont commencé à soutenir les activités séparatistes et terroristes au Xinjiang. Cela, à des fins géopolitiques afin de déstabiliser la Chine et de contenir son développement. Pendant la guerre froide, le savant britannique Bernard Lewis a concocté la théorie de « l'arc de crise » visant à fracturer les pays du Moyen-Orient jusqu’à l'Inde, sur la base de lignes ethniques pour diviser l'Union soviétique.


Zbigniew Brzezinski, alors Conseiller à la sécurité nationale du président Jimmy Carter, a fait valoir que les États-Unis doivent empêcher la réalisation du « rêve séculaire de Moscou d'avoir un accès direct sur l'océan Indien ». Les États-Unis ont alors lancé l'opération Cyclone qui a duré de 1979 à 1989 et a coûté jusqu'à 630 millions de dollars par an. Avec l'Arabie saoudite et la Grande-Bretagne, les États-Unis ont fourni des fonds, de l'équipement et une formation aux guérilleros musulmans qui combattent contre l'Union soviétique.


Juste après la fin de la guerre froide, les États-Unis et la Grande-Bretagne ont commencé à utiliser le Xinjiang comme un levier pour contenir la Chine, en soutenant les forces séparatistes et terroristes. Les forces néoconservatrices aux États-Unis sont passées de l'Union soviétique à contenir l'influence de la Chine en Asie centrale. Les agences de renseignement américaines et britanniques ont soutenu le panturquisme afin d'affaiblir la Russie et la Chine et de servir leur programme de maintien d'un monde unipolaire. Au fil des ans, un certain nombre d'institutions anti-chinoises et de groupes extrémistes ont fait leur apparition à la recherche d'un État de « Turkistan oriental » ou « d'indépendance » du Xinjiang, y compris le Congrès mondial ouïghour et le gouvernement en exil du Turkistan oriental.


Depuis 2004, le National Endowment for Democracy NED (en français, Fondation nationale pour la démocratie) a canalisé 8,76 millions de dollars américains vers les groupes de la diaspora ouïghoure qui font campagne contre les politiques chinoises au Xinjiang. Les facteurs mentionnés ci-dessus ont provoqué la diffusion rapide d'idées radicales au Xinjiang. Les terroristes sont entrés dans le Xinjiang depuis les champs de bataille d'Afghanistan, du Pakistan et de Syrie. Certaines organisations terroristes violentes ont ouvertement réclamé de cibler et attaquer les ressortissants chinois. Entre 1997 et 2014, le Mouvement islamique du Turkestan oriental (ETIM) a fréquemment comploté et mené des attaques terroristes, qui ont coûté la vie à plus de 1.000 civils.


En 2003, la CIA a suggéré que si les États-Unis se trouvaient dans une crise ou une confrontation avec la Chine à l'avenir, l'option d'utiliser la «carte ouïghoure» comme moyen d'exercer une pression ne devrait pas être retirée de la table. Dans le cadre de cette stratégie, les États-Unis, la Grande-Bretagne et leurs alliés, s'accrochant à la mentalité de la guerre froide, ont ordonné à leurs établissements de renseignement et à leurs universitaires anti-chinois de mobiliser les groupes de la diaspora ouïghoure pour diffuser de la désinformation, sur la soi-disant oppression sévère des musulmans ouïghours au Xinjiang, qui a été diffusée par les grands médias occidentaux de manière coordonnée. Voici ce qu'ils cherchent à réaliser:

Primo : une fausse impression que les Musulmans du Xinjiang soutiennent «l'indépendance». Cela se fait souvent en incitant certains groupes à mener des activités séparatistes pour faire croire au public que les habitants du Xinjiang veulent tous un État indépendant.


Secundo : l'illusion que l'ETIM est pour la paix. Rien n'a été dit sur les liens étroits des groupes concernés avec Al-Qaïda et leur rhétorique violente et terroriste. En novembre 2020, l'ancien secrétaire d'État américain, Mike Pompeo, a même retiré l'ETIM de la liste américaine des organisations terroristes étrangères.


Tertio : la fausse allégation de violations des droits de l'homme au Xinjiang. Certaines organisations, dont Human Rights Watch, ont fabriqué des rapports sur le Xinjiang, mais leurs sources ne sont qu'un petit groupe d'Ouïghours d'outre-mer extrêmement anti-chinois. Les récits sans fondement de ces rapports ont été davantage mis en avant et diffusés par des institutions telles que l'Australian Strategic Policy Institute (ASPI).


En janvier 2017, la députée démocrate américaine de l'époque, Tulsi Gabbard, a noté qu'en vertu de la loi américaine, il est illégal pour quiconque de financer ou de soutenir Al-Qaïda, l'EI ou d'autres organisations terroristes. Cependant, le gouvernement américain fournit depuis longtemps, directement ou indirectement, des fonds, des armes et un soutien en matière de renseignement à ces organisations par le biais de certains pays du Moyen-Orient.


Lawrence Wilkerson, Chef d'Etat-major de l'ancien secrétaire d'État, Colin Powell, et Colonel à la retraite de l'armée américaine, lors d'un discours à l'Institut Ron Paul en août 2018 sur les trois objectifs de la présence américaine en Afghanistan, a déclaré sans vergogne que « la troisième raison pour laquelle nous étions là [en Afghanistan], c’est parce qu'il y a 20 millions d'Ouïghours [au Xinjiang]. La CIA voudrait déstabiliser la Chine et ce serait la meilleure façon de le faire pour fomenter des troubles et se joindre à ces Ouïghours pour pousser les Chinois Han à Pékin en des lieux internes plutôt qu’externes ».


Dans une interview vidéo en 2015, Sibel Edmonds, une ancienne interprète du FBI, a expliqué comment les États-Unis avaient planifié et agi pour déstabiliser le Xinjiang. Elle a dit que « le Xinjiang est l'artère d'entrée de l'énergie. Nous voulons, progressivement et en interne, jouer la carte du genre et la carte de la race. Pour cette partie du monde, nous voulons jouer la minorité sans terre. Nous disons que nous allons pour les aider car ils sont opprimés, et que les Chinois les abattent et les torturent ». Le plan des États-Unis est de copier les tactiques utilisées en Afghanistan, en Ukraine et en Irak dans le Xinjiang, en créant un problème à partir de rien et en l'exploitant. « Nous espérons que le Xinjiang sera le prochain Taiwan. En tant que pays occidentaux, nous ne nous sommes jamais souciés de ces gens. Cela ne relève pas de notre domaine d'intérêt, à moins qu'il ne puisse être utilisé, capitalisé pour atteindre notre objectif ».

Traduit de l’anglais par Jeannot Ramambazafy

Source : Chinadaily du 28 avril 2021

Mis à jour ( Vendredi, 14 Mai 2021 20:05 )  
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