Le dimanche 1er juillet 2007, voulant rejoindre la colline sacrée d’Antsahadinta -à une vingtaine de km du centre d’Antananario- en taxi-brousse, mauvaise surprise. Il n’existe pas de ligne régulière pour aller visiter ce vestige de l’histoire de l’Imerina, sinon il faut se lever très tôt. En effet, seuls un car y va et quitte la Capitale à 9h. Impossible n’étant pas… malgache aussi, je décide d’aller en bus jusqu’à Ampitatafika et de crapahuter jusqu’à Antsahadinta, à quelque 16 km de là . Cette randonnée pédestre forcée -mais entrant dans la logique du professionnel que rien n’arrête- m’a permis de voir ce que l’on ne peut pas photographier à bord d’un véhicule public. Ce n’est pas le reportage photo du siècle mais çà vaut sûrement le coup d’œil. A vous de… voir et sans légende. Une ambiance de la campagne des hauts plateaux